mercredi 27 octobre 2010

Mercredi 22 Décembre 2038 : Le Numérique, remède à la maladie d'Alzheimer ?

Nous y étions. 131 longues années après avoir pour la première fois décrit cette maladie, nous y étions. Alzheimer. Un mot qui fait toujours peur et qui terrorisa plusieurs générations d'occidentaux, des baby-boomers à la génération Y; des occidentaux qui assistèrent, impuissants, chez leurs parents, au lent, irréversible et finalement mortel processus d'oubli de soi, des autres, du monde…

Pendant des années, des chercheurs s’étaient acharnés à identifier les causes de cette maladie. C'est finalement l'Inde qui en fournit la clé. 
Pays où les mères porteuses foisonnaient dans les années 2000, l’Inde n’avait pas cru bon - et peut-être à juste titre - de mettre en place des lois éthiques relatives aux expériences d’ordre génétique. Cela comportait un risque, c’est vrai, mais c’était aussi le seul 'terrain de jeu' au monde où l’on pouvait espérer trouver des remèdes à certaines maladies dites incurables.

Ce fut la rencontre, il y a 15 ans, d’un scientifique français de renom, Fabien Pifferi, et de Doug Eriomem, un américain expert en informatique et en biomécanique, qui mena finalement aux résultats dont on se félicite aujourd’hui. 

Le professeur Pifferi avait étudié l’Alzheimer sous différentes formes depuis son entrée à l’université à la fin des années 1990, et avait identifié la source de la maladie à son stade primaire : Un taux anormal d’adrénaline se libérait subitement dans un contexte calme quelques heures avant la perte de mémoire. La solution qu'il avait trouvée n'était évidemment pas applicable : Oui on parvenait à stabiliser l’adrénaline mais cela rendait les sujets durablement psychotiques.

Doug Eriomem avait quant à lui inventé la première « Wifi Export Data Key » : une clé USB qui, lorsque qu’elle était branchée à un périphérique, pouvait envoyer des données à distance sur des serveurs afin de les sauvegarder de façon sécuritaire.

Ensemble et en à peine 3 ans, les deux scientifiques avaient uni leur expertise pour contrer l’Alzheimer - pas un vaccin traditionnel mais plutôt une sorte de parade : Lier le cerveau humain à un prototype de la clé USB munie de capteurs biomécaniques.
À force d’expériences sur des cobayes Indiens, la parade avait été trouvée : À chaque fois que le taux d’adrénaline augmentait subitement, la clé « WEDK » se mettait en marche en exportant en temps réel 'l'actif cérébral' du cobaye. Et lorsque le taux s’abaissait, un transfert de données inverse se mettait en branle. Le cerveau récupérait donc les données saines qui, via téléchargement, avaient automatiquement écrasé les données corrompues.

Il semble acquis que les deux hommes se verront attribuer le prochain prix Nobel de Médecine. Ils l'auront mérité.
(Texte de Julien Messu, merci encore Julien)

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire